La rencontre avec Cléopâtre

24/05/2013 19:00

 

Après avoir rencontre l'homme au poil de cou vraiment long et s'être passé la soie dentaire, on a passé encore une fois notre fin de semaine à Hong Kong. La première journée, on a décidé de se promener dans le centre-ville. On s'est promené dans le centre d'achat du IFC qui est une tour haute comme le gros calliss, pis tout le monde sait que le gros calliss est haut en tabarnak. En effet, c'est la huitieme plus haute batisse au monde. Dans le centre d'achat, Marc s'en pouvait pu, y courait les magasins comme l'assistante-gérante du camping St-Donald qui vient d'apprendre que le savon a vaisselle de chez Provigo est en spécial. ça, ça coure les magasins comme le gros criss pis tout le monde sait que le gros criss coure les magasins en tabarnak, mais pas autant que le gros calliss.

 

Ensuite, le soir, on a eu un souper avec des clients importants de notre usine. C'était vraiment le fun et on a eu la chance de goûter à du jellyfish. Et oui, ça se mange, mais c'est pas parce que ça se mange que c'est bon. En fait, c'était vraiment pas bon. La texture était comme un vieux jelly bean qui est resté pogné dans une crack de sofa pendant 2 ans. En fait, ça goutait plus comme le jelly from a little bean(parlez-en a Marc). Ensuite de ça, on a décidé de l'échapper, on est allés dans un quartier où y'a plein de bars vraiment chers(au moins on payait pas). Dans le bar on a rencontré une gang de filles qui nous donnaient leur carte d'affaires et vu que nous on en avait pas on a donné les cartes d'affaires de notre superviseur du stage qu'on a fait à l'automne. Y'avait une fille qui avait un entreprise qui faisait louer ses sacoches coco chanel ou des colliers avec plein diamants. Elle avait l'air de Cléopâtre, un peu plus pis on lui demandait si elle attendait le retour de la momie pis j'lui donnait des grappes de raisins.

 

Pendant notre semaine de travail, on avait un voyage où on devait visiter d'autres usines pour aller chercher des prix de differents produits cuisine pour ensuite choisir le plus avantageux. C'est une pratique frequente dans ce type d'entreprise. Pendant ce petit voyage vraiment interessant (deux jours), on est allés à Yangjiang, petit village d'environ trois millions d'habitants. Plusieurs choses spéciales sont arrivées. J'pense pas que les gens là-bas sont habitués de voir des gens de race blanche, on s'est fait regarder comme si on était le père Fourra et ses trois apôtres. Pendant une des visites de l'usine, on a rencontré un gérant et c'était probablement la personne qui sentait le plus mauvais de l'histoire de l'humanité. J'ai même appelé l'humanité, pis il m'a dit qu'il a pas trouve quelqu'un qui sentait plus mauvais. Y sentait tellement mauvais que les pettes à Marc auraient étés rafraîchissants. Y sentait comme un restant de deux semaines de pâté chinois enveloppé dans un vieux bas qui a fait le tour du Cambodge dans un sac de voyageur qui a dormi sur un lit en bouse de vache.

 

Ensuite, on a prit l'autobus pour revenir à Shenzhen. à la station d'autobus, quelque chose nous est arrivés dont on aurait jamais pensé possible; quand on est allé aux toilettes, notre voisin d'urinoir, très subtilement(not), nous a regardé le package et les jingle bells à plusieurs reprises tout en se hochant la tête. Et ça, ça nous est arrives à nous deux par deux personnes différentes. Comme on dit par chez nous, baisse le feu du barbecue mon tabarnak, tu vas roaster les drumsticks! Après être sortis de l'autobus, y'avait plein de monde qui offrait des lifts et quand ils nous ont vu sortir, ils se sont lancés sur nous comme des p'tits canards au lac de St-Adèle qui voient du pain. Pour essayer de faire comprendre au chinois qu'on comprenait rien, Marc a voulu dire: Wo bu dong (je ne comprends pas en mandarin), mais à la place de dire ça il a dit: Wo bao la. C'était pas vraiment la meilleure situation pour utiliser cette phrase la, parce que ça veut dire que j'ai pu faim. Le chinois nous a vraiment regarder bizarrement et est parti. Comme on dit par chez nous, qui pisse contre le vent, se rince les dents.

 

C'est ce qui termine le douzième article de ce blogue, le prochain traitera de notre nouvelle recette de brioches aux avocats. On va aussi vous parler de la bedaine a bouddha.

 

-Sebby, also known as : randy tremblay, seuuuub, regis labeaume, le marchant de gougounes, johnny boychuk -reportin' from Shen to the fucking zhen. 

 


Créer un site internet gratuit Webnode